Ma critique du film d’animation Crisis on Infinite Earths – Part One est maintenant disponible sur Pieuvre.ca.

Suite à sa rencontre avec un vieillard itinérant, Barry Allen alias Flash, l’homme le plus rapide de la planète, ne cesse d’être transporté à différentes époques et dans diverses réalités, sans qu’il n’ait aucun contrôle sur le déclenchement de ces sauts temporels et interdimensionnels, ni sur leur durée. Sur des Terres parallèles, il tombe tour à tour sur le Syndicat du Crime, composé par des contreparties maléfiques de ses amis superhéros, et participe à la formation de la Justice League en compagnie de Superman et de Batman. Le jour de son mariage avec Iris West, une entité se faisant appeler Harbinger interrompt la cérémonie et déclare qu’elle est venue recruter les plus grands héros de toutes les dimensions afin de stopper une vague d’antimatière oblitérant tout sur son passage. Barry mettra alors tout en œuvre pour empêcher non pas la fin d’un monde, mais la fin de tous les mondes existants à travers le multivers.

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